Certains groupes de personnes sont plus vulnérables à la victimisation que la population prise dans son ensemble : les femmes et les filles, les personnes âgées, les migrants de la première génération, notamment les mineurs, et les citoyens issus de l’immigration, les personnes sans domicile fixe… Dans tous les pays européens (et au-delà) et année après année, les statistiques de la criminalité mettent en lumière cette vulnérabilité accrue.
Si les gouvernements nationaux ont pour la plupart des politiques spécifiques destinées à protéger ces groupes de population, les collectivités territoriales jouent aussi un rôle déterminant parce qu’elles sont en contact direct avec eux. C’est dans les quartiers, dans la vie quotidienne, qu’une femme est aggressée, qu’un mineur arrivé seul d’un pays en guerre est en errance, ou que des citoyens seniors sont isolés et à la merci d’actes malveillants.
L’Efus travaille de longue date avec les collectivités territoriales sur des pratiques et des doctrines de prévention de la violence que peuvent subir ces groupes, tout en menant des actions de plaidoyer auprès des autorités nationales et des institutions européennes.
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> Compte rendu de l’atelier organisé lors de la conférence 2021 :
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Découvrez les actions mises en place dans des collectivités de toute l’Europe au travers de documents synthétiques présentant les éléments clés de ces initiatives : contexte, objectifs, activités, budget, évaluation. Toutes les fiches de pratiques sont à retrouver sur Efus network.
Vienne – 24 février 2011 – L’Efus appelle l’Europe à soutenir les autorités locales d’Europe du sud confrontées à un afflux important d’immigrants, selon une résolution publiée après…
